Martine Sicard : Baobab

Baobab

Vendu

Triptyque Acrylique sur toile 110x50

3 commentaires:

Unknown a dit…: c'est tout de suite plus classe maintenant dans le salon ...

manque plus qu'un petit éclairage digne de ce nom et ce sera parfait !

merci encore et bravo l'artiste ...; 26 août 2008 à 20:03
Anonyme a dit…: c'est une fierté d'avoir une telle œuvre à la maison.
les couleurs sont en parfaite harmonie avec notre intérieur.
On y a pensé et tu l'as fait !
Merci.; 26 août 2008 à 21:34
Unknown a dit…: j'adore le tableau , en plus il va bien avec le salon en cuir marron , beige...
Illona; 7 octobre 2009 à 09:45

La peinture et moi !!

Mes premiers contacts avec la peinture remontent à l'âge de 17 ans, je devais en effet me destiner à une carrière de décoratice d'intérieur en préparant le concours d'entrée à l'école Boulle.

En vain, parcours abandonné, une autre vie m'attendait...
et bien, bien plus tard, un désir intense m'envahit, le retour, le désir de recommencer ou plutôt de commencer, le bonheur de faire ce qui me plaisait, me séduisait, enfin une nécessité absolue.

Pendant plusieurs années, cours au sein d'une association, puis la rencontre avec une artiste-peintre et son atelier auquel je participe depuis maintenant plusieurs années.

Pour parler de mon travail, j'utiliserais les mots "couleur" et "spontanéité". Peindre est pour moi une nécessité : c'est à la fois la passion de créer, une perception et un regard, une fenêtre ouverte sur la vision intérieure du monde dans lequel je vis et que je veux partager avec ceux qui regardent mes toiles.
Les sensations, les émotions, les images reçues au cours de ma vie, au contact des gens et des choses, ont construit ce monde.

Ce qui est recherché, espéré dans mon travail, c'est de ne rien imposer, mais de solliciter chez celui qui se laisse entraîner à le découvrir, cet indicible qui réside entre les touches de couleur comme le silence entre des notes de musique. Il n'y a rien à interpréter, simplement à se laisser pénétrer comme si la toile avait quelque chose à nous dire.

Du fond, fait de collages et/ou de matière, surgit la forme, les substances se mélangent, se dévoilent.
Spontanéité du geste, simplicité des formes, la couleur jaillit d'elle-même, textures empreintes magnifient le travail en cours.

Petits, moyens et grands formats.

Prix "Fauchère" salon de Verrières le Buisson.

Martine Sicard

Baobab

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